![](https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_360/public/ged/lhorloger_de_saint_paul.jpg?itok=zp4oduFt 360w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_480/public/ged/lhorloger_de_saint_paul.jpg?itok=wdrX21Kp 480w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_640/public/ged/lhorloger_de_saint_paul.jpg?itok=scwCONN4 640w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_800/public/ged/lhorloger_de_saint_paul.jpg?itok=3dkq_PLC 800w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_1280/public/ged/lhorloger_de_saint_paul.jpg?itok=cZE4kaTF 1280w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_1920/public/ged/lhorloger_de_saint_paul.jpg?itok=1_Ueo9MJ 1600w)
L'Horloger de Saint-Paul
La vie sans histoire d'un horloger lyonnais est bouleversée lorsqu'il apprend que son fils a commis un meurtre.
A Philippe Noiret, son double de cinéma, Bertrand Tavernier fait endosser les habits d’un père qui doute, comme le feront nombre de ses futurs personnages. Ils doutent, mais ils sont debout, prêts à affronter l’hostilité, la mitraille du camp ennemi ou le regard inquisiteur de la société. Qualifié
de «héros du quotidien» par Tavernier lui-même, son horloger lyonnais opère une remise en cause personnelle qui force l’admiration.Laurent Delmas