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Un Drôle de paroissien
Georges, fils d’une famille aristocratique et catholique ruinée, croit recevoir un jour une révélation divine : pour subvenir aux besoins des siens, il va piller les troncs des églises.
De parents polonais émigrés, élevé dans la culture slave, l’enfant solitaire et précoce est un cinéaste bien français dont l’imaginaire puise ses racines dans le domaine de la Commedia dell’arte, voire de la bouffonnerie. Quel que soit le genre qu’il a abordé tout au long de sa carrière, de la comédie (Un Drôle de paroissien, Les Compagnons de la marguerite, La Grande Lessive (!), Le Pactole…) au drame (Un Couple, Le Témoin, Y a-t-il un français dans la salle ?), du polar (Solo, Un linceul n’a pas de poches, Noir comme le souvenir…) au fantastique (La Cité de l’indicible peur, Litan, Ville à vendre…), il a employé le ton de la farce, de la satire, du grotesque, en prenant systématiquement le contrepied de la mode.
Eric Le Roy