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La Belle vie
Eté 1961 : démobilisé après vingt-sept mois de service militaire en Algérie, Frédéric rentre à Paris, le soir du 14 juillet. Il n’a qu’une idée en tête : retrouver son travail de photographe et se marier avec Sylvie.
Premier long métrage de Robert Enrico, La Belle vie témoigne de ce moment charnière entre la fin des années 50, marquées par les guerres coloniales, et le développement de la société consumériste des « Trente Glorieuses ». Le film révèle les ambiguïtés de cette période d’expansion. Le « héros » rentre d’Algérie traumatisé, le jeune couple vit chichement dans une chambre de bonne, la recherche d’un travail est une suite de frustrations, le bonheur se dérobe lorsque la chance tourne…
Laurent Aléonard