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Vivement dimanche !
Une femme et son amant sont assassinés. Le mari, Julien Vercel, suspect n°1 decide de s'enfuir et de se cacher quelque temps. Sa secrétaire, Barbara Becker, éprise de son patron, mène sa propre enquête.
Dans son dernier film, avant sa disparition prématurée à l’âge de 52 ans, François Truffaut revisite sur un mode ludique son amour de la « série noire » américaine, transposée dans un contexte bien français. Après Tirez sur le pianiste (d’après David Goodis) ou La mariée était en noir (d’après William Irish), Truffaut adapte à sa manière un roman criminel de Charles Williams, The Long Saturday Night, rebaptisé Vivement dimanche ! (...) Disciple d’Hitchcock, admirateur de la série B hollywoodienne, Truffaut est pourtant un cinéaste qui déteste la violence et répugne à écrire des personnages de méchants. Il choisit de traiter cette intrigue policière sur un mode humoristique et sentimental, en s’intéressant à la naissance de l’amour entre Fanny Ardant et Jean-Louis Trintignant.
Olivier Père, Arte.Tv