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Bellissima
À Cinecittà, dans l’Italie d’après-guerre, le réalisateur Alessandro Blasetti lance un casting pour trouver l’enfant de son prochain film. Maddalena (Anna Magnani) y voit l’occasion pour sa fille Maria (Tina Apicella) de vivre une vie meilleure. Elle sacrifie alors son mariage et ses économies pour lui offrir les leçons qui feront d’elle une star. Arrive enfin le grand jour des essais…
L'histoire était vraiment un prétexte [...] Le vrai sujet c'était Magnani. Je voulais faire avec elle le portrait d'une femme, d'une mère moderne, et je crois l'avoir assez bien réussi, parce que Magnani m'a prêté son énorme talent, sa personnalité. C'est cela qui m'intéressait. Non pas tellement le milieu du cinéma. On a dit que j'avais voulu peindre ce milieu d'une façon ironique, méchante. Non, ça ce n'était qu'une conséquence.
Luchino Visconti
Cahiers du cinéma n°93, mars 1959