Carrie au bal du diable
Élévée sous l'emprise d'une mère tyrannique, Carrie est la souffre-douleur des autres filles de son collège. À l'approche du bal de fin d'année, elle découvre qu'elle possède des pouvoirs de télékinésie.
Brian De Palma adapte Stephen King dans un récit initiatique cruel, cheminement vers le mal et réflexion baignée de sang sur la féminité naissante, et multiplie au passage les clins d'œil au maître Hitchcock (la scène de douche, la BO stridente de Pino Donaggio). Le Grand Prix d'Avoriaz cuvée 77.