![](https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_360/public/ged/assassin_habite_au_21.jpg?itok=1-2M4-ED 360w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_480/public/ged/assassin_habite_au_21.jpg?itok=Fm6DvVYn 480w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_640/public/ged/assassin_habite_au_21.jpg?itok=Xer5hqIF 640w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_800/public/ged/assassin_habite_au_21.jpg?itok=3kje9lLZ 800w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_1280/public/ged/assassin_habite_au_21.jpg?itok=W1wyCV6I 1280w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_1920/public/ged/assassin_habite_au_21.jpg?itok=qsd9PxZR 1600w)
L'Assassin habite au 21
Un tueur en série sévit à Paris. Le commissaire Wens apprend que l'assassin séjournerait à la pension Mimosa, 21, avenue Junot. Il décide d'enquêter sur place, vêtu en homme d'Église.
L’un des meilleurs “policiers” des années 40. Ce premier film de Clouzot l’impose par la noirceur de sa peinture : la vision des pensionnaires du 21 est sans concessions et le suspense habilement agencé. Mais Clouzot est aussi servi par une pléiade d’acteurs extraordinaires : le trio Tissier Larquey- Roquevert et le couple Fresnay-Delair forment un amusant contrepoint au sinistre M. Durand.