![](https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_360/public/ged/varda_ulysse.png?itok=vekxs4kd 360w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_480/public/ged/varda_ulysse.png?itok=gidFS5y1 480w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_640/public/ged/varda_ulysse.png?itok=_KEGL-V4 640w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_800/public/ged/varda_ulysse.png?itok=P90vc6y9 800w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_1280/public/ged/varda_ulysse.png?itok=qqRmyzU5 1280w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_1920/public/ged/varda_ulysse.png?itok=8BLEyqcN 1600w)
Ulysse
Au bord de la mer, une chèvre, un enfant et un homme. C’est une photographie faite par Agnès Varda en 1954 : la chèvre était morte, l’enfant s’appelait Ulysse et l’homme était nu. À partir de cette image fixe, le film explore l’imaginaire et le réel.
La photo ne ressuscite rien, ne fait qu’accuser la distance, concrétiser le manque, théâtraliser l’absence, l’impossible coïncidence entre les personnages et leur image. Le charme du film est de ne rien avoir pour autant de funèbre ou de nostalgique.
Les Cahiers du Cinéma