Au bonheur des dames
Denise, jeune orpheline provinciale, arrive à Paris et s’installe chez son oncle dont le petit commerce est menacé par le fl amboyant grand magasin d’en face, Au bonheur des dames, dirigé par Octave Mouret.
« Une redécouverte majeure, l’un des meilleurs films de son auteur. Le roman de Zola est modernisé et une visualisation extrêmement stylisée, au montage brillant, lui donne des allures de Berlin, symphonie d’une grande ville (Walter Ruttmann, 1927). Véritable précis de l’utilisation ingénieuse du décor, c’est l’une de ces oeuvres magistrales qui, de 1927 à 1929, attestaient de la pleine conscience du langage cinématographique. »
Christian Viviani,
Positif n° 341-342 (1989).