Au travers des Oliviers
Dans un village du nord de l'Iran détruit par un tremblement de terre, une équipe de cinéma s'installe et engage des jeunes gens du village pour de petits rôles.
Au travers des oliviers pourrait se contenter d’être un film intelligent. Mais c’est, avant tout, un film vibrant de sensualité, drôle et chaleureux. On pense parfois aux Renoir, père et fils, peintre et cinéaste. Du second, Kiarostami tient le goût de la comédie humaine, l’amour des “petites gens” et ce souci de ne laisser personne sur le chemin
Vincent Rémy, Télérama, 1995