Pauvres mais beaux
L’amitié entre Romolo et Salvatore est mise à rude épreuve lorsqu’ils tombent amoureux de la même femme, Giovanna.
Titre provocateur, acteurs charismatiques, et Rome en toile de fond… tout le talent du cinéaste italien est déjà présent dans ce film de débutant, première partie d’un triptyque sur l’Italie des années 1950.
Télérama
Cette trilogie exemplaire n'est pas née comme une trilogie. Au départ, Pauvres mais beaux était un premier film à très bas budget et puis, le film a eu un tel succès international que les producteurs ont commandé une suite, et c'est devenu une trilogie réalisée en moins d'un an et avec très peu de moyens.
Lorenzo Codelli, France Culture