![](https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_360/public/ged/val_abraham.jpg?itok=S2_R-HPn 360w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_480/public/ged/val_abraham.jpg?itok=vAG8NbAk 480w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_640/public/ged/val_abraham.jpg?itok=rcnk1UGV 640w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_800/public/ged/val_abraham.jpg?itok=U-qJHUPn 800w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_1280/public/ged/val_abraham.jpg?itok=2SCBUEAn 1280w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_1920/public/ged/val_abraham.jpg?itok=-aZcfugC 1600w)
Val Abraham
Dans la région du Douro, Ema grandit avec son père dans une atmosphère de grande sensibilité poétique. Séduisante et innocente, elle développe un goût irrésistible pour les fictions romantiques mais ne trouve jamais de satisfaction avec les hommes. Devenue femme, elle épouse un médecin qu’elle n’aime pas, avec qui elle déménage dans la vallée d’Abraham. Menant une vie mondaine, Ema connaîtra trois amants dans une constante recherche de passion, de luxe et de défis.
On suit Ema de quinze à trente-cinq ans, au présent, dans une vision actualisée, entre la fin des années 60 et aujourd’hui. J’avais demandé, après La Divine Comédie, à Agustina Bessa Luis, une grande écrivaine portugaise, d’écrire une adaptation de Madame Bovary, d’abord sous forme de scénario, mais ça ne marchait pas, puis sous forme de roman. Et ensuite j’ai moimême adapté ce roman.
Manoel de Oliveira