![](https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_360/public/ged/passager_de_la_pluie.jpg?itok=QgMM0zBz 360w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_480/public/ged/passager_de_la_pluie.jpg?itok=ZlapGsyd 480w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_640/public/ged/passager_de_la_pluie.jpg?itok=GWUn6QQs 640w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_800/public/ged/passager_de_la_pluie.jpg?itok=1U8rWZb2 800w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_1280/public/ged/passager_de_la_pluie.jpg?itok=lTO3pMin 1280w,
https://adrc-asso.org/sites/default/files/adrc/styles/5x2_1920/public/ged/passager_de_la_pluie.jpg?itok=NPLDgxIA 1600w)
Le Passager de la pluie
Dans la banlieue de Marseille, une jeune femme mariée à un pilote de l’air souvent absent se fait agresser et violer par un mystérieux inconnu. Elle parvient à le tuer, dissimule le corps, mais le lendemain, un Américain l’accuse de meurtre.
Le cinéaste entrelace ici le code du film policier et celui du conte, avec des références constantes – souvent visuelles – à Alice au pays des merveilles. Comme chez Lewis Carroll, on y trouve des objets « magiques », un jeu sur les couleurs (dont le rouge et le blanc), et une héroïne qui traverse des épreuves propres à la transformer. Le duo de Marlène Jobert et Charles Bronson est captivant à tout moment. La mise en scène, qui a valu au film des prix prestigieux, allie le suspense haletant et la stylisation, avec un savoir faire magistral.
Denitza Bantcheva