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Les Félins
Traqué par deux tueurs à la solde d’un Américain jaloux, un jeune gigolo trouve refuge dans un foyer pour sans-abris où il se fait embaucher comme chauffeur.
C’est sans doute le plus ludique et le plus amoral des films de Clément, où le principe de l’arroseur arrosé est exploité à travers plusieurs personnages et une kyrielle de pièges, au second degré, dans le décor d’une villa somptueuse, qui apparaît comme un résumé de l’histoire de l’art. Mêlant l’esprit parodique, l’érotisme et l’esthétisme baroque, Les Félins a déboussolé le public du temps de sa sortie, pour s’imposer au fil des années comme une oeuvre postmoderne avant la lettre, virtuose et pleine de charme vénéneux.
Denitza Bantcheva