Le Nom de la Rose
En l’an 1327, dans une abbaye bénédictine du nord de l’Italie, le moine franciscain Guillaume de Baskerville, accompagné du jeune novice Adso, vient enquêter sur des morts mystérieuses qui frappent la confrérie. Le secret semble résider dans la bibliothèque, où le vieux Jorge de Burgos garde jalousement un livre jugé maudit.
J'ai éprouvé beaucoup de chagrin pendant une dizaine d'années. Le Nom de la Rose, un de mes films préférés, n'était plus visible nulle part, coincé par de sombres histoires d'ayants-droit. Heureusement, l'acharnement de TF1, de mes agents d'Artmédia et de l'affectueuse intervention de la famille d'Umberto Eco ont permis que la France bénéficie du privilège de pouvoir de nouveau regarder le film. Il a été magnifiquement rénové, tel que je l'avais souhaité au tournage, mieux que les copies en 35 ou en 70 mm.
Ce film de mon cœur est destiné au vôtre.
Jean-Jacques Annaud